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10 févr. 2017, 14:29
La rentrée des élèves de première année
Le premier septembre avait toujours été un jour particulier pour Alicja Svensson. Mais ce premier septembre là, l'était doublement plus. Elle venait de fêter ses onze ans, âge qui n'était pas aussi symbolique à ses yeux que le jour de ses dix ans, sans qu'elle ne puisse réellement expliquer pourquoi. Son anniversaire avait toujours été synonyme de grandes rigolades et galopades, de cadeaux époustouflants de la part de sa mère. Mais cette fois-ci, le premier jour de septembre avait un arrière-goût désagréable d'angoisse et de solitude : la veille, Alicja s'était réveillée chez son père, loin de sa mère qui était restée au ranch maternel. La jeune brunette avait parcouru la maison entière et aucun signe de son père qui lui avait simplement laissé un petit message écrit à la plume : « ne bouge pas ! » Elle avait maugrée : ne pas bouger, ne pas bouger. C'était facile à dire, elle était rongée par l'anxiété de sa première journée dans une école qu'elle ne connaissait que de nom. Heureusement pour elle, son père possédait un Croup tout à fait adorable qui lui donnait une légère impression d'être de retour chez elle, entourée de ses animaux. Elle s'était d'ailleurs endormie, ennuyée par l'attente, la joue contre le flanc rondouillard du chien —son père le lui avait déconseillé, bien que le chien ait été traité contre les Ciseburines.
Lorsque son père fut de retour dans le bâtiment vieillissant et morose —les plaines sans fin du far west manquaient déjà à la brunette—, la journée avait été un enchaînement de tâches à effectuer afin de boucler les préparations pour la rentrée. Alicja avait suivie son père jusqu'au Chemin de Traverse, s'était perdue un moment dans les pages de livres aussi épais qu'elle chez Fleury et Bott, et avait fini la journée avec un porte-monnaie vide de Gallions.
Toutes ces préparations avaient donné à la brunette un sentiment de réalité : Poudlard semblait bel et bien à portée de main. Malgré ça, elle ne réalisa qu'à l'instant où le Poudlard Express démarra et que la silhouette de son père disparu à l'horizon. Elle se sentait soudainement nauséeuse à la réalisation qu'elle allait devoir vivre sans ses parents et qu'elle ne connaissait personne.

Lorsque le train s'immobilisa en gare, elle n'eut pas le temps de réfléchir plus longtemps à ce qui l'attendait : elle était entraînée par la masse noire d'enfants vêtus de noirs, embarqua dans une barque en compagnie d'autres enfants qui étaient aussi inquiets qu'elle —un d'eux ne tenait pas en place et avait failli tomber de la barque, aucun d'eux n'avaient besoin de ça ; ils étaient déjà trempés par la pluie battante. La jeune fille oublia bien vite ses inquiétudes, émerveillée par la grandeur du château. Tout semblait fantaisistes, tout droit sorti de ses rêves. Elle fut tirée de ses rêveries par les grands coups que le dénommé Hagrid donna sur de grandes portes en bois. Alicja ne pouvait cacher son sourire, bien qu'anxieuse, et les bavardages des nouveaux élèves lui laissait comprendre qu'elle n'était pas la seule à être contente et ébahie par ce qu'elle était en train de vivre.
Le silence se fit à l'instant où une femme brune prit la parole : elle se présenta comme étant la Sous-Directrice de l'école et le professeur des Soins aux Créatures Magiques : Mme. Almeida. Alicja avait du mal à dissimuler son sourire béat, elle avait déjà hâte que les cours commence et était certaine qu'elle serait contente de participer aux cours du professeur. Elle n'écouta que d'une oreille le discours de la femme, plus intéressée par le décor des lieux. Une porte en bois massif leur firent face, Alicja ne pouvait s'empêcher de se demander ce qui les attendait derrière, la réponse arriva rapidement.

Ce qui apparu aux yeux de la jeune américaine n'avait rien à envier aux paysages fantastiques de l'ouest américain. Une salle, énorme, gigantesque où flottait des bougies. Quatre longues tables qui lui semblaient interminables, où étaient attablés des élèves souriants qui semblaient très heureux de cette nouvelle rentrée. La confiance et l'aise de la plupart de ces élèves indiquèrent à Alicja qu'ils n'étaient probablement pas des premières années comme elle. Les drapeaux de chaque maison ornaient la pièce, elle n'avait jamais ressenti une pareille vague d'émotions alors qu'elle et les autres nouveaux élèves longeait les grandes tables. De découverte en découverte, elle découvrit ensuite le célèbre Choixpeau magique dont elle avait tant entendu parler. Son père avait été un Gryffondor, mais elle espérait rejoindre les Serdaigles qui lui paraissaient être ses âmes sœurs. Elle avait entendu dire que penser fort à la maison souhaitée l'aiderait à la rejoindre. Mais le Choixpeau semblait avoir d'autres idées en tête.


« — Alicja Svensson… Tiens donc, je connais ton père. Un énergumène, duquel tu tiens ton envie de te soustraire à la foule. Studieuse… Non, pas Serdaigle, je vois autre chose. Non, Serdaigle me paraît… Non, bien entendu ! SERPENTARD ! » La voix du Choixpeau avait résonné dans sa tête un instant, il devait faire erreur ! Elle avait entendu dire que le Choixpeau faisait très peu erreur, et qu'il n'avouait de toute façon jamais ses fautes. Mais l'idée de passer sept ans de sa vie dans une maison qui ne lui convenait pas la pétrifiait, il fallut qu'on lui montre le chemin vers la table des serpents verts. Une fois assise, elle se rendit enfin compte des applaudissements qui l'accueillaient à sa table, des sourires chaleureux qui la saluaient. Elle se reprit alors, la joie d'être enfin une élève à Poudlard avait pris le dessus sur ses angoisses peut-être infondées et elle entra dans une conversation passionnante avec sa voisine, une élève de quatrième année qui semblait avoir lu l'anxiété de la jeune américaine. Les Serpentards n'étaient donc pas tous des égoïstes insensibles qui ne voyaient pas plus loin que le bout de leur nez.

10 févr. 2017, 15:58
La rentrée des élèves de première année
Hywell se tenait dans la foule de première année, son coeur palpitait dans sa poitrine, terrible horloge déboussolée en cet instant. Le stress serrait ses organes, bousculait son ventre, son coeur, tout son interieur se contorsionnait de panique. Elle leva sa petite bouille blafarde vers son frère à sa gauche, lui, il était grand, il ne stressait pas vraiment, et ressentit un élan de peur pour sa jumelle qui le regardait avec de grands yeux larmoyant.
Il lui saisit la main, elle était si paniquée, et ils allaient peut etre être séparés, c'était d'ailleur sa seule chose que craignait Haran, lui et sa soeur avaient beau être jumeaux, ils n'avaient pas le meme caractère ni les mêmes aptitudes et ambitions.
Hywell serra la main de son frère, pas trop fort bien sur, elle se rassurait en se disant que sept ans de sa vie, ce n'était pas si grand...
Elle recue un coup de coude d'un garcon qui venait d'être appelé, le petit essayait de se frayer un passage jusqu'au choixpeau, Hywell fronca les sourcils, le stress ne la rendait pas tolérante, le garcon se retourna et lui tira la langue. Hywell écarquilla les yeux, son frère l'imita. Etait-ce une blague ? Ce gamin : qui avait son age: venait de lui tirer la langue comme un bambin de six ans arrogant l'aurait fait ?
Elle répondit par un haussement de sourcil, et son frère lanca au malotru un regarde noir et haineux.
Ah Hywell détestait ce genre de personne, genre de personne qu'elle trouvait commun chez les sorciers, qui semblaient toujours vouloir écraser les autres, être supérieur, montrer "qu'ils n'étaient pas des sang-mélé EUX" La jeune sorcière était facilement angoissée, et la pression des autres la déstabilisait terriblement.


"Haran Bronain ! " Appela le professeur,

Hywell sentit son coeur se serré si fort, elle contracta la main de son frère dans la sienne, prise de panique. Haran se tourna vers sa soeur et la saisit par les épaules

"Tu seras la prochaine. Reste forte, et rappelle-toi, tu m'as promis d'essayer de te faire des amis... Dit-Haran à sa soeur décomposée.

- Oui..." Acquiesça-t-elle

Elle regarda son frère aller s'asseoir sur la chaise de l'estrade, elle vit le choixpeau sur la tête de son frère.. Son ventre se serra.


"Hmmm, courageaux, protecteur, malin... Un souhait d'aider les autres, et une grande détermination... Griffondor ? Serdaigle ? GRIFFONDOR ! Annonca le choixpeau comme une sentence.

-Hywell Bronain ! " Appela enfin le professeur

D'un pas tremblant, elle se dirigea vers l'estrade. Hywell avait quitter son nid douillet familial et ses amis humains pour venir à Poudlard, elle voulait faire des études brillantes, elle avait déja lu tans de livres avec son frère... Elle s'assit sur la chaise, devant elle il y avait encore une foule de petits sorciers, certains avaient l'air aussi éffrayés qu'elle,

"Alors... Commenca le choixpeau une fois sur sa tête. Voila donc la fameuse soeur si precieuse ? Dans la foule il y eut des rires moqueurs, Hywell ragea interieurement, elle aurait rêvé de transformer ce chapeau trop bavard en petit pois ! Un esprit brillant, une timidité rongeante, une grande détermination toi aussi... Et WOUW cette peur des sorciers... Tu me laisses perplexe... Hm... Comme ton frère hein ? Tu es sure de supporter l'esprit de Griffondor ? Oui ? Oui ? Tu es si déterminée... Tu dois aller à SERDAIGLE

-Non.." Laissa échapper Hywell alors qu'on otait le choixpeau de sa tête... Elle ne devait pas pleurer. Tout ses sorciers allaient rire d'elle. Elle devait être forte, et respecter ce qu'elle avait prévus avec son frère...

Hywell rejoint la table des éleves de Serdaigle, elle souffla un bou coup, le stress sortit avec l'air de sa bouche, c'était fait. Son frère lui fit signe, elle répondit d'un geste de main. Il souriait, il la montra du doigts en parlant avec un garçon a sa droite

"C'est ma soeur" Lu Hywell sur les lèvres de son frère

La distributions des nouveaux élèves prit encore du temps puisque Hywell était située au début de la liste par ordre alphabétique.

Elle n'adressa pas la paroles aux élèves, elle répondit à quelques interrogations banales sur son origine, ses matières préférées, et même sur si son frère était célibataire. Elle mangea peu. Encore trop inquiète.
Elle avait déja fait la visite de l'école, elle se rappelait que cette visite devait avoir lieux avec le chef de sa maison, mais cette année elle avait été réalisée avant, ainsi, une fois le repas finit, le chef de la maison, une jolie jeune fille, les avait conduits dans leur salles communes et leur avait montré leurs dortoirs. Les pièces étaient grandes, une douce odeur de feux chaud, de bois et de thé les enveloppaient, Hywell se dit qu'elle n'aurait pas trop de mal à etre à l'aise ici. Les filles de sa chambre avaient l'air aimables et serieuses, cela lui convenait aussi, tans que celles-ci ne se mettaient pas à demander ses propres résultats par la suite.

Elle s'assit sur son lit, les autres filles étaient parties, elle se laissa tomber en arrière, et regarda le rideau tendu au dessus de son lit, aux couleurs de serdaigle. Elle ferma les yeux, vit ses parents, ses amis Nikola et Danaé, restés en Irlande, elle se demanda si son frère était lui aussi dans son dortoir, si il avait déja une bande de camarades chahuteurs. Elle souffla a nouveau par la bouche, son coeur était vraiment trop lourd, et elle avait encore la boule au ventre...


*Tu peux le faire* Se dit elle en se levant !

Hywell B.

13 févr. 2017, 10:44
La rentrée des élèves de première année
Ça y est. C'était le jour J. Le grand départ. Le début d'une nouvelle aventure, et quelle aventure !
Elaïna, allongée sur son lit, fixait le plafond. Le ventre noué, la tête bouillonnante, mélangée entre craintes et désir de nouvelles péripéties à ajouter à son journal à souvenirs, elle n'avait pas pu fermer l'œil de la nuit.
Les rayons du soleil filtraient à travers les rideaux jaunis par le temps. L'enfant, après un soupir, se redressa sur son lit, la fine couverture retombant sur ses cuisses et sa longue chevelure en désordre. Ses yeux se posèrent sur ses bagages, entreposés en tas au milieu de la pièce.


" Ela', tu vas finir par être en retard ! "

Elaïna sursauta, sortie de ses pensées par la voix criarde de sa mère. Était-il déjà si tard ? Elle jeta un coup à son réveil. Le temps avait filé à une vitesse étonnante et en même temps lui avait parut une éternité.

" Je suis déjà debout ! ", répondit-elle, sachant pertinemment que sa mère n'en croyait pas un mot.

À la hâte, la rousse enfila ses vêtements, avant de faire une toilette rapide. Attrapant un toast au passage, elle fit traîner un gros sac jusqu'à la salle à manger, la veste trop grande pour elle lui retombant sur le bras.


***


Elaïna avait profité du voyage dans le train pour revêtir sa robe et sa cape d'élève. Le visage collé à la vitre, elle regarda le train arriver en gare, la buée lui cachant peu à peu la vue.
Accompagnée de son père, elle avait fait ses courses au chemin de traverse, puis avait rejoint le quai 3/4 à la gare et était monté dans le Poudlard Express où elle se trouvait à présent.
En une journée, elle avait vu plus de foule qu'elle n'avait jamais vu en onze ans dans sa campagne natale. Elle était déjà épuisée et avait mal à la tête, mais ce n'était pas encore fini.

Après avoir débarqué du train, les élèves confièrent chacun leur tour leurs bagages avant de monter dans des petites barques. Le cortège était mené par le plus imposant et le plus barbu homme que l'enfant elle n'avait jamais vu. Elle le regarda avec des yeux pleins d'admiration, ce qui lui valut un sourire bienveillant du demi-géant.
Le domaine qui entourait Poudlard les accueillait par la pluie, le froid et l'obscurité. Elaïna grelotait, mais au fur et à mesure que l'école se rapprochait, les battements de son cœur s'accéléraient.
Oubliées furent ses craintes. Elle n'avait qu'une hâte: découvrir le château, sa maison et se faire de nouveaux amis.

Une fois arrivés dans le château, les élèves, toujours menés par l'homme barbu, marchèrent jusqu'à une jolie dame. Là encore, Elaïna la regarda avec des yeux émerveillés.
La femme, d'un coup de baguette sécha les élèves penauds et mouillés jusqu'aux os. Les muscles de la petite fille se décontractèrent: enfin un peu de chaleur !
Hagrid, c'est comme ça que l'homme s'appelait, s'éclipsa. Elaïna qui l'avait prit en amitié, le regarda s'éloigner.

Concentrée, elle ne remarqua pas que la directrice invita les élèves dans une petite salle. La pauvre rousse, qui était en plein milieu du groupe, se fit pousser et marcher sur les talons, elle suivit donc le mouvement.
Elle écouta d'une oreille distraite le discours de bienvenue de la sous-directrice, et ne retint même pas son prénom. Encore une fois, elle fut prise dans le mouvement de foule, et sans avoir écouté la direction que prenait le groupe, suivit ses camarades.
Alors que les grandes portes se dressant devant les enfants furent ouvertes, tous comprirent. Certains poussèrent un soupir d'admiration, dont Elaïna, qui resta bouchée-bée.
Quatre tables étaient disposées le long de la pièce, et les drapeaux des quatre maisons se dressaient fièrement devant celles-ci. Des bougies flottaient en dessous du ciel qui représentait la copie parfaite du temps orageux. Le regard de la nouvelle élève se posait sur les tables, intriguée par la multitude de nourriture posée. Elle remarqua que tous les regards étaient posés sur eux, et détournant le regard, regarda droit devant elle, gênée.

Et puis, en face d'eux se dressaient la table des professeurs. Certains les regardaient avec un sourire bienveillant, d'autres se demandaient à quelle sauce allaient-ils manger leurs nouveaux élèves.
Et le plus important était posé au milieu de la pièce: un tabouret avec à sa gauche le choixpeau. Elaïna crut un instant que son cœur allait exploser, tant des émotions confuses et jusque là inconnues se bousculaient dans tout son corps.
Enfin, le silence s'installa dans la pièce. Et petit à petit, alors que leur nom fut appelé, les élèves s'asseyaient chacun leur tour sur le tabouret, attendait la décision finale, et rejoignait leur table sous un tonnerre d'applaudissement.
À chaque nouveau nom appelé, la rousse sentit quelque chose d'étrange dans son ventre. Elle avait longuement parlé avec son père, ancien Poufsouffle. Celui-ci lui avait raconté les méchancetés que certains Serpentards lui avaient fait subir.
Il avait insisté sur le fait que, bien sûr, les verts n'avaient pas tous un mauvais fond... mais, avec son âme d'enfant, Elaïna n'avait retenu que les défauts de cette maison, et avait prié toute la nuit pour ne pas tomber sur cette maison.

Les noms défilaient, l'attente lui semblait durer une éternité.

Quand, enfin...


" Elaïna Greenwood ! ", son nom résonna dans la grande salle.

Elle déglutit, le rouge lui montant aux joues. Elle se fraya un passage parmi les élèves restant, et s'installa sur le tabouret. Une fois le choipeaux magique installé sur sa tête, il se mit à réfléchir.

" Poufsouffle, Poufsouffle... ", murmura Elaïna en fermant les yeux.

" Oui, Poufsouffle, comme ton père... Tu as hérité de sa loyauté et sa gentillesse... Hm... Mais tu vas changer... Je le sens... Tu développeras courage et caractère... SERPENTARD "

L'enfant sursauta. Avait-elle bien entendu ? Sans aucune expression sur le visage, le regard baissé, elle rejoint la table aux couleurs vertes et argentées sous un tonnerre d'applaudissements.
Le visage blanc, elle s'imaginait les regards sournois, les rires hypocrites... et quelle ne fut pas sa surprise, lorsqu'elle leva les yeux, de voir de grands sourires chaleureux et de recevoir des tapes amicales sur le dos.
Et si, après tout, les Serpentards étaient différents de ce qu'elle avait imaginé ?
Les joues un peu rougies, elle sourit timidement et regarda ses autres camarades se faire placer dans leur maison.

21 févr. 2017, 19:04
La rentrée des élèves de première année
C’est le cœur battant mais l’émotion contenue que Kay mit enfin le pied sur la terre ferme en dehors du Poudlard Express. Lui qui croyait que le monde de la magie serait quelque chose d’hermétiquement réservé à un faible pourcentage de la population…. Il y avait pourtant énormément d’écoliers destinés à devenir sorciers ! Il se fraya tranquillement un chemin parmi eux, resserrant autour de lui sa nouvelle cape car le vent s’était levé. Il put comprendre en observant les autres que de petites créatures à peine plus hautes que ses hanches faisaient office de valets et s’occupaient des bagages. C’est donc avec un sourire poli qu’il accueillit le premier être s’étant présenté à lui. Kay se contenta d’un « Merci..? » interrogateur et rêveur en remarquant les oreilles en forme de croissant de l’elfe. Ce dernier empoigna son unique valise en exécutant une subtile courbette puis disparut avec elle. D’un air égaré, Kay ne put empêcher ses yeux de chercher plus loin la trace de l’individu, en vain. C’était une des premières exécutions de magie qu’il voyait de ses yeux et, évidemment, il ne pouvait encore se résoudre à n’y rien comprendre. C’était un mélange de fascination et de frustration que d’assister à ces phénomènes incroyables et ne pas pouvoir mettre le doigt sur leur secret. À observer les expressions anxieuses des autres, il comprit qu’il n’était pas le seul à chercher des réponses. Également, c’était comme un non-sens pour lui de voir d’autres élèves, à l’opposé, ne pas s’en soucier le moins du monde. Comme si tout ça était naturel et allait de soi.

Alors que des élèves plus grands se rejoignaient tous d’un certain côté du débarcadère, les premières années furent séparés du reste du convoi. Kay suivit docilement le mouvement, un peu en retrait. Les élèves semblaient nerveux. C’était un mélange de bousculades et de maladresse. Il faut dire que la météo n’était pas de leur côté, alors le désir de trouver un abri motivait une certaine hâte. Ils devaient prendre place dans des barques et Kay vit, aux gestes indécis et aux regards jetés au large, que la plupart de ces enfants ignorait comment mettre le pied dans une embarcation.


* En voilà des pantouflards..! * pensa-t-il avec moquerie mais sans méchanceté.

Il aurait pu en aider un ou deux mais il se contenta de vouloir être le dernier de sa barque à quitter le sol, afin de donner une poussée. Hors, lorsqu’il voulut donner l’élan, la barque décolla d’elle-même et il faillit perdre l’équilibre. Il ignore si quelqu’un rit de lui ou s’approcha pour l’empêcher de chavirer; tout ce qu’il y avait dans son esprit était une totale incompréhension. Personne sur la rive n’avait poussé la barque non plus… C’est alors que dans le brouillard, il vit une, puis deux, puis trois autres barques filer sur l’eau, bien droites, dans un silence le plus complet. Un rire léger franchit ses lèvres à l’idée qu’il soit à l’intérieur d’une barque magique qui décollait et se manœuvrait toute seule. Il s’assit alors confortablement à sa place.
Autour, les gens grelottaient de froid, étant trempés jusqu’aux os. Kay ressentait un inconfort mais il avait éprouvé bien pire : la chasse aux vers de terre printanière, la cueillette d’algues derrière la chute Willow (elles servaient juste à faire une purée dégoutante à se lancer mais bon!), les orages qui le surprenaient trop vite à vélo, la cachette dans le marais, l’habit de neige gorgé d’eau car trop usé, toutes les fois où il a dû plonger dans le lac parce que Selene (sa petite sœur) y avait perdu son/sa roche/balle/barrette/poupée/bracelet/cheval/figurine/rien du tout … Ce n’était pas la pluie qui lui aurait donné froid aux yeux. Il fallait admettre par contre que le vent qui soufflait sur les flancs montagneux de leur destination était poignant.

Les minutes passèrent et au loin, il put distinguer des points de lumière flous dispersés dans l’épais brouillard : Poudlard n’était plus qu’à quelques mètres. L’endroit semblait incroyablement vaste : jamais Kay n’avait vu de bâtiments aussi imposants que ceux constituant l’enceinte de sa future école. Tout n’était que briques, tourelles et flambeaux. On se serait cru à l’époque médiévale. Pendant que la barque accostait doucement et que les premiers passagers en descendirent, Kay chercha des yeux le guide qu’il n’avait pas encore entrevu, sans succès. Un autre élève tint la barque solidement pendant que Kay fit sa descente et il le remercia sincèrement. C’est en détournant la tête qu’il vit l’homme – ou plutôt le surhomme – qui était leur responsable. En parfait contraste avec le petit être qui s’était occupé de sa valise, leur guide était costaud, large et exagérément grand. Il s’avançait vers une énorme porte en bois, sur laquelle il frappa. Le regard pétillant, Kay tordit nonchalamment le bas de sa cape détrempé d’eau en s’approchant du groupe qui commençait à entrer lentement dans le château. Ce faisant, il jeta un regard derrière lui vers l’étendue d’eau : était-ce seulement un lac ou est-ce que ça menait plus loin? La pénombre et la pluie torrentielle empêchait de voir au-delà les barques. Les portes de bois massif se refermèrent derrière Kay et quelques autres élèves trainards, ce qui interrompit sa brève rêverie. Une dame toute en élégance les toisait du regard un à un. Sans la moindre parole, elle agita d’une manière qui sembla aléatoire pour Kay sa baguette de bois. Défiant toute logique, toute loi de chimie ou de physique, ses vêtements et lui-même se retrouvèrent complètement séchés. Il frotta du pouce et de l’index un pan de sa cape pour en authentifier la texture. C’était incroyable ! Puis la dame se présenta comme la sous-directrice, ce qui intimida immédiatement Kay : c’était un garçon docile mais l’autorité avait quelque chose d’impressionnant pour lui.

Encore une fois, le groupe de Première Année devait migrer vers l’ailleurs : cette fois-ci, ils avaient rendez-vous dans une pièce minuscule qui obligea les élèves à se serrer les uns contre les autres. Cette situation lui rappela vaguement les quelques fois où il avait pris le métro à Londres : il avait détesté. Puis, alors que Madame Almeida poussait la nouvelle porte, toute pensée s’envola de sa tête. Le vide se fit alors qu’il suivit les autres d’un pas machinal. Rien n’aurait pu le préparer à une telle vision : des tables énormes sculptées dans le bois accueillaient des centaines de jeunes et moins jeunes élèves. Tout au bout de cette salle splendide siégeaient les gens de la direction ainsi que les professeurs, sans aucun doute. Ce qu’ils dégageaient inspiraient immédiatement le respect, voire la crainte pour certains. Levant légèrement la tête, Kay aperçut les fameuses chandelles flottantes qui lévitaient doucement au-dessus de toutes ces têtes. La répartition était commencée et le jeune Bathory eut quelques instants d’inattention.


*Ouais mais la cire, est-ce qu’elle fond sur les gens ?*

Sa concentration revint alors sur la cérémonie procédurale qui était en cours : la sous-directrice expliquait brièvement ce qui allait suivre. Les nouveaux élèves étaient tous, sans exception, répartis selon quatre maisons distinctes. Et cette répartition était déterminée par… un espèce de vieux chapeau chantant. La mention « Ne vous inquiétez pas, il ne vous fera aucun mal » n’avait fait qu’accentuer l’épouvante de la « chose ». Une fois le choc passé, Kay porta attention à ses paroles. Il analysa rapidement que les vers « Ceux pour qui le savoir importe » et « Ce que le blaireau redoute / C’est de perdre amis et parents » lui seyaient bien, contrairement aux « ambitieux » de Serpentard. En fait, il trouva la description de cette dernière maison un peu vague, sans trop savoir pourquoi.

Kay n’avait de préjugé sur aucune maison puisque leur univers propre restait encore inconnu pour lui. Cependant… Il était presque sûr que certaines maisons étaient plus estimées que d’autres. À voir leur mine déconfite ou ravie, certains des élèves avaient clairement beaucoup d’espoir d’être ou ne pas être dans une maison précise. Particulièrement… Serpentard semblait être parfois redouté, pour des raisons obscures. Même qu’une fille avait hurlé « Non! » lorsqu’elle avait été sélectionnée pour cette maison. Et Poufsouffle s’attirait d’autres fois des moqueries. Mais à bien d’autres moments, la plupart des élèves semblait vouer un nouveau culte à leur maison, peu importe celle qui leur était attribuée. Pour nombre d’enfants, l’annonce de leur répartition était une profusion de bonheur, que ce soit pour Poufsouffle, Serdaigle, Gryffondor ou Serpentard. C’est alors qu’un faible « Bathory, Kay » prononcé au loin parvint à ses oreilles. Il jeta un bref coup d’œil aux alentours pour s’assurer que personne d’autre que lui ne devait s’avancer, prit une grande respiration puis s’avança. Il était troublé par le Choixpeau qui passait de tête en tête. Est-ce que des espèces de tentacules allaient en sortir pour entrer dans ses oreilles? Il gravit les quelques marches menant au tabouret. Au moment où le choixpeau fut déposé sur sa tête, il sentit son cœur battre à lui en défoncer la cage thoracique. Une voix assurée et tonitruante s’éleva et chaque mot sortit de la bouche de cette chose resta à jamais ancrée dans les souvenirs du petit blondinet :


« Tu as l’âme d’un SERPENTARD ! »

Le sort en était jeté. Cette maison sur laquelle on accordait un regard parfois hautain parfois craintif, était la sienne. Et ce fut la première fois que Kay eut un sentiment de recul, quelque chose relevant de l’instinct, lui intimant de rebrousser chemin. Comme un signal d’alarme. Il repensait à sa famille sur le quai de la gare. Un éclair de panique à peine perceptible passa furtivement dans ses yeux. Le souffle court, il se leva pourtant du tabouret, garda la tête haute et se dirigea vers la table des Serpentards.

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16 mars 2017, 20:28
La rentrée des élèves de première année
Simon resta très calme à la sortie du train malgré la pluie qu'il trouvait très désagréable "Je ne me plaindrais jamais plus de la pluie à Londres" se disait-il. Il traversa dans la barque profitant du paysage et surtout du château qu'il voyait au loin. Lorsqu'il arriva au château, il vit une dame ouvrir, il entendit la conversation des élèves à coté de lui qui disaient :
"C'est la sous-directrice ! Elle va nous placer dans les maisons."
Simon était surpris de voir une sous-directrice aussi jeune dans un établissement mais aussi intrigué par le mot "maison", de toute évidence ce mot n'avait pas le même sens que celui pour lequel on l'entendait habituellement, mais il ne posa pas la question, il avait peur que les autres élèves se moquent de lui parce qu'il ne connaissait pas les mots relatifs à la magie. Il avança donc avec les autres élèves. Il vit la sous-directrice secouer sa baguette et il sentit d'un seul coup la chaleur envahir son corps : ses vêtements étaient devenus secs comme s'il n'avait jamais été portés dehors sous la pluie. Simon était épaté par la magie, la peur avait totalement disparu de son esprit et seul la curiosité été resté voire même s'était amplifiée. Il se laissa guider par la sous-directrice à travers l'immense château, il restait consciemment à l'arrière du groupe pour pouvoir admirer plus longtemps les moindre recoins de ses lieux. Il suivi sans perdre une miette les explications sur ce qu'était les maisons et comprenait maintenant mieux ce terme que d'autres collégiens avait mentionné à l'arrivée dans le château.
Puis, en suivant la foule, Simon entra dans la pièce, étant dans les derniers à peine avait il rentré que la sous-directrice disait déjà :
"La Cérémonie de la Répartition va commencer."
Il s'installa en vitesse et vit le choixpeau "c'est marrent, comme le chapeau est posé on dirait qu'il a une bouche". Puis, comme si la magie faisait tout ce qui était improbable au moment où Simon s'en doutait le moins le choixpeau se mit à parler ce qui le surprit.

Si vous m’trouvez un peu vieilli,
Si vous m’trouvez détérioré,
Sachez que mon ancienneté
Est redevable à la magie.

Ma naissance eut lieu ici-même,
Il y a de cela fort bien longtemps,
Par quatre sorciers très puissants
Dont l’histoire suit dans ce poème.

Il fut un temps où la magie
Ne pouvait pas se pratiquer
Sans se faire mener au bûcher
Et condamner pour hérésie.

Mais c’est alors que quatre héros
Souhaitant mettre à l’abri leurs pairs
Ont choisi de prendre pour repère
Les murs de cet antique château.

Avec nombre de sortilèges,
Ils ont pu faire de ce haut lieu
Une école où le plus dangereux
Serait de glisser sur la neige.

Bien sûr vous connaissez leur noms :
Godric, Salazar et Helga,
Et n’oublions pas Rowena.
Ce soir vous s’rez dans leurs maisons !

Gryffondor accueille les vaillants
Dont le courage est sans mesure.
Tous ceux qui ont soif d’aventures
Rejoindront le Lion flamboyant.

Ceux pour qui le savoir importe
A Serdaigle seront bien lotis,
Car si vous êtes quelqu’un d’esprit,
L’Aigle vous ouvrira sa porte.

Les dévoués et les tolérants
Chez Poufsouffle se rendront sans doute
Car ce que le Blaireau redoute
C’est de perdre amis et parents.

Chez Serpentard pourront rentrer
Les malins et les ambitieux.
Si vous n’avez pas froid aux yeux,
Le Serpent vert sera parfait.

N’ayez pas peur mes chers enfants
Je ne vous ferai aucun mal.
Je vais juste devant toute la salle
Lire votre tempérament.


« Le Choixpeau Magique se chargera de vous répartir dans votre future maison. Lorsque j'appellerai votre nom, vous viendrez vous asseoir sur le tabouret et je mettrai le Choixpeau sur votre tête. Ne vous inquiétez pas, il ne vous fera aucun mal,»

Ainsi, Simon attendit son tour, il avait pendant ce temps le moment de ce rendre compte que ce qu'il vivait était réel. Puis quelques minutes plus tard, qui passèrent comme des secondes pour Simon la sous-directrice l’appela. Il s'assit donc sur le tabouret et laissa la sous-directrice mettre le choixpeau sur sa tête. Il fut surprit d'entendre une voix dans sa tête qui disait :

"Mhhh ... Je vois ... Tolérance, fair-play, gentillesse, c'est bien sur évident ... POUFSOUFFLE !

Les élèves de la table au blaireau jaune applaudirent tous Simon, il se dirigea vers cette table, pris place et fit connaissance avec de nombreux élèves qui l'accueillaient très bien. Il avait hate de partager des cours peu habituels avec ses nouveaux camarades peu habituels .

30 mars 2017, 16:32
La rentrée des élèves de première année
Amy se tenait dans la foule des premières année le professeur et attendait avec impatiente la répartition des maisons ses deux grands frères Ryan et Dylan lui avait un peu expliqué le fonctionnement de cette cérémonie mais Amy était tout de même très angoissée.Son plus grands frère
Ryan était chez Serdaigle et son autre frère aussi .

Ainsi elle espérait de tout son coeur y aller pour pouvoirs retrouvé. A côté d'elle ,son amie Elisabeth n'était pas non plus très rassuré et tant qu'a elle dans sa famille c'était plutôt Pouffsoufle mais les deux jeunes filles espéraient tout de même se retrouver dans la même maison .
Soudain,elles entendirent une chanson douce et mélodieuse:


Je n'suis pas d'une beauté suprême
Mais faut pas s'fier à ce qu'on voit
Je veux bien me manger moi-même
Si vous trouvez plus malin qu'moi.

Les hauts-d'forme, les chapeaux splendides,
Font pâl'figure auprès de moi
Car à Poudlard, quand je décide,
Chacun se soumet à mon choix.

Rien ne m'échapp' rien ne m'arrête
Le Choixpeau a toujours raison
Mettez-moi donc sur votre tête
Pour connaitre votre maison.

Si vous allez à Gryffondor
Vous rejoindrez les courageux,
Les plus hardis et les plus forts
Sont rassemblés en ce haut lieu.

Si à Poufsouffle vous allez,
Comme eux vous s'rez juste et loyal
Ceux de Poufsouffle aiment travailler
Et leur patience est proverbiale.

Si vous êtes sage et réfléchi
Serdaigle vous accueillera peut-être
Là-bas, ce sont des érudits
Qui ont envie de tout connaître.

Vous finirez à Serpentard
Si vous êtes plutôt malin,
Car ceux-là sont de vrais roublards
Qui parviennent toujours à leurs fins.

Sur ta tête pose-moi un instant
Et n'aie pas peur, reste serein
Tu seras en de bonnes mains
Car je suis un chapeau pensant !


Alors le professeur commença a appeler des premières année :

Elsa Betroux ... SERPENTARD
Et une huée d'acclamation s'éleva de la table des Serpentard

Deux ou trois autres élèves furent appelés ils furent envoyés chez Gryffondor,Serdaigle,Poufsouffle et Serpentard

Soudain elle entendit un nom qui lui était bien familier et normal...

Amy Phosaint elle prit place sur le tabouret encore toute tremblante et on lui posa le chapeaux sur la tête
Encore une Phosaint cette fois pas de doute: SERDAIGLE

Elle était très fière et avait un sourire jusque aux oreilles de loin,elle adressa un signe de la main à Elisabeth puis s'éloigna vers la table des Serdaigle ses deux frères Ryan et Dylan et out les autres Serdaigle formèrent une haie d'honneur et tous lancèrent leurs chapeaux a travers la salle . Ce jour là restera toujours gravé dans sa mémoire ...

C'est là qu'elle entendit :

Elisabeth Gallistin ...

"Wit beyond measure is man's greatest treasure." Rowena Serdaigle
"Si tu veux cerner la vraie nature de quelqun regarde la façon dont il traite les personnes qui lui sont inférieures et non pas ses égaux"
Sirius Black
Code couleur: #008080

31 mars 2017, 16:38
La rentrée des élèves de première année
Eléonore regardait chaque détails de la grande salle. Les décorations suspendues au dessus des quatre tables flottaient par enchantement et s'entrechoquaient parfois avec une des boules de lumière qui offraient leur éclairage aux élèves. Les couleurs des maisons emplissaient la pièce de fierté. Des végétaux courraient le long d'un mur et une plaque Commémorative faisait honneur à une ancienne bataille.


Image

Eléonore etait a l'écart avec les autres premières années. Elle se demanda à quoi correspondait cette bataille et se jura d'être assidue en histoire de la magie. Une voie résonna dans la grande salle amenant immédiatement le silence. Le choix peau magique chantait. A la fin de la chanson. Des applaudissements suivirent et la cérémonie de répartition commença.

L'ordre alphabétique llaissait souvent Eléonore patienter longtemps. Pour elle la maison ou elle allait être n'avait pas vraiment d'importance, elles ne les connaissait que très peu . Son frère avait été envoyé à poussoufle il y a trois ans mais elle ne voulais pas forcément partager sa maison. Elle etait sur que le chapeau ferrait le bon choix. C'est donc l'esprit serein qu'elle se coiffa. Le verdict ne se fit pas attendre. Griffondor. Avec le sourire Eléonore se rendit à la table rouge et or qui l'acclamait. Elle donnerait tout pour honorer ces couleurs.

10 avr. 2017, 19:41
La rentrée des élèves de première année
Eleana Dough venait d'arriver dans la Grande Salle de Poudlard. Elle regardait tout autour d'elle, essayant de ne pas laisser passer le moindre élément. Au dessus d'elle, un plafond magique laissait voir la magnifique ciel de la nuit rempli d'étoiles. Des chandelles flottaient dans les airs.
Eleana était heureuse d'être ici, entourée de gens comme elle. Elle ne se sentait plus seule, elle se était heureuse d'arriver ici, entourée de tous ces sorciers et sorcières venus apprendre l'art de la magie.
Elle était entourée d'élèves qui, tout comme elle, faisaient leur première entrée à Poudlard.
Un professeur les précédait au travers de la salle.
Quatre tables étaient alignées et, devant, une cinquième table à laquelle étaient assis des professeurs se dressait.
Le professeur qui avait accompagné les élèves expliqua qu'elle allait poser un chapeau sur la tête de chaque élève et que celui-ci allait les repartir dans les quatre maisons de Poudlard, Gryffondor, Serpentard, Serdaigle et Poufsouffle.
Plusieurs élèves furent appelé jusqu'à ce que se soit le tour d'Elana.
Celle-ci avança, une boule au ventre, mais déterminée. Elle se dirigea vers le chapeau, un sourire timide aux lèvres.
Gryffondor. Tel était le nom de sa maison.
des acclamtions provenaient de la table des Gryffondor et Eleana rejoignit ses camarades, un peu chancelante, mais avec un poids en moins.

Les pissenlits c'est joli.

17 avr. 2017, 11:48
La rentrée des élèves de première année
Depuis qu'elle était montée dans le Poudlard Express, Dali était plongée dans un monde fascinant et totalement inconnu. Elle était émerveillée par tout ce qu'elle voyait, si bien que sa bouche était presque tout le temps ouverte. Elle regardait les élèves tenter de faire de la magie, certains avec succès, d'autres vainement. Et puis cette découverte de ce tout nouveau monde avait continué avec les barques, qui sevaient à amener les premières années au château. Elle avait vu Poudlard se découper au loin, illuminé de temps en temps par un éclair. La pluie tombait drue, mais la fillette n'en avait que faire. Elle était hypnotisée par ce paysage.

Enfin, la petite troupe arriva au pied de l'école. Ils remontèrent le sentier et arrivèrent devant la grande porte. Celle-ci s'ouvrit dans un grincement, avant de se refermer rapidement. Un professeur les accueilli, une jeune femme à l'air plutôt chaleureux. D'un coup de baguette, elle sécha tous les élèves. Dali sentit alors son corps se réchauffer, ce qui n'était pas pour lui déplaire. La jeune femme se présenta sous le nom d'Almeida avant de leur expliquer les bases à Poudlard. Elle les amena dans une salle exigu, où la future sorcière écouta avec impatience son discours, ayant hâte de voir la suite. Enfin, les élèves entrèrent dans la Grande Salle. L'heure de la Cérémonie de la Répartition avait sonnée.

C'est avec stupéfaction que la jeune artiste vit un vieux chapeau rapiécé commencer à chanter. Elle ouvrit de grands yeux, puis rapidement, sembla très absorbée par l'objet. Elle le regardait dans les moindres détails, comme si elle essayait de comprendre comment cela pouvait être possible. Quand il eut fini sa comptine, le professeur Almeida commença à appeler des noms. Blackquill, Dough... Dali ne faisait pas attention à tous. En fait, elle ne semblait pas du tout prêter attention à ce qui se passait. Son regard était perdu dans le ciel au-dessus de sa tête. On voyait la pluie tomber, les éclairs, on entendait l'orage, et pourtant rien ne sembler les atteindre. Mais était-ce seulement vraiment un ciel ? Elle n'en savait rien, mais elle semblait complètement happée par cette magie. C'était là, maintenant, tout de suite, qu'elle aurait aimé avoir son carnet. Phosaint... Un autre nom résonna dans la salle. Dali ne semblait pas se rendre compte que sept ans de son avenir allaient se jouer dans à peine quelques minutes. Contrairement aux autres, elle ne semblait absolument pas stressée. Rosenthal... Rosenthal... Quelqu'un l'appelait ?


- Rosenthal ! Rosenthal, Dali !

La fillette sembla soudainement tirée de sa rêverie. Oui, on l'appelait. L'enfant se fraya un passage parmi les élèves restant. D'un pas leste, elle se dirigea vers le tabouret et on lui posa le Choixpeau sur sa tête. Une petite voix lui parvint alors. *Créative, beaucoup de choses à exprimer... Je sens beaucoup de sentiment en toi... Une véritable âme d'artiste... Chaleureuse, et pourtant complètement dans ton monde. Tu ne le paraîs pas, mais tu es très fidèle envers tes proches. Sans aucun doute...*

- POUFSOUFFLE !

La fillette reposa alors le chapeau, sous les exclamations et applaudissements de ses camarades. C'était la première fois qu'elle assistait à un tel spectacle. Un sentiment de joie émana d'elle. Heureuse, elle se dirigea donc vers sa table, et assista au reste de la Cérémonie, cette fois bien présente. C'était une nouvelle vie qui s'annonçait pour elle.

TROISIÈME ANNÉE RP
Code couleur : #18405A

03 mai 2017, 19:52
La rentrée des élèves de première année
Elizabeth posa le pied hors du train l'air totalement perdue, elle regardait autour d'elle tout en triturant ses cheveux ramener en tresse sur le côté droit de son visage. Vêtue pour la première fois de sa longue robe de sorcière Elizabeth se mit en marche et suivit le groupe d'étudiants qui se précipitait vers l'entrée du château. Bien que tous la poussait Elizabeth ne perdit pas de vue Hagrid, le géant l'aidait à ne pas se perdre avec tous ses étudiants qui courraient de partout tout en criant d'excitation.
Soudain Elizabeth et les autres se stoppèrent devant la grande entrée de Poudlard. Hagrid se retourna vers eux l'air malicieux

"Je vous souhaite la bienvenue à Poudlard, vous y apprendrez beaucoup de choses! Et vous me verrez peut être près de la Forêt Interdite. Allez je ne vous retiens pas petits garnements entrez"

Hagrid ébouriffait les cheveux des quelques étudiants qui passaient devant lui en souriant. Lorsqu'Elizabeth passa devant Hagrid elle se stoppa quelques secondes et le regarda avec de grands curieux et adorables. Le demi-géant lui offrit un sourire réconfortant et elle lui rendit un sourire plein de doutes et de peur mais teintée de joie tout de même.

Toujours suivant les autres Elizabeth entra alors dans la Grande Salle la bouche grande ouverte comme un poisson hors de l'eau. Une fille plaçait à ses côtés lui ferma la bouche en souriant

"Tu es une née-moldue hein?

"Ca semble si flagrant? Elizabeth sourit à l'étudiante à ses côtés

"Tu semble si émerveillée que oui c'est flagrant. Alors dis moi tu veut être dans quel maison"

Elizabeth réfléchit, elle avait entendu une fille parler à sa soeur elle lui avait expliqué qu'il y avait quatre maison, serpentard, gryffondor, poufsouffle et serdaigle. Elle avait expliqué que pour entrer à Serpentard il fallait être Ambitieux, Rusé Déterminé et Fin. Pour être à Gryffondor il fallait être Courageux, Fort d'esprit, Hardie et Tolérant, pour être à Poufsouffle nous devions être Constant, Équilibré, Patient et Loyal et enfin pour être à Serdaigle il fallait être Créatif, Érudit, Discerné et Sage

" Je n'ai pas de préférences pour le moment du moment que je suis heureuse dans ma maison je pense que c'est l'essentiel non?"

La fille hocha la tête lorsque soudain le choixpeau se mit à parler :

Je n’suis pas d’une beauté suprême
Mais faut pas s’fier à ce qu’on voit
Je veux bien me manger moi-même
Si vous trouvez plus malin qu’moi.
Les hauts-d’forme, les chapeaux splendides
Font pâl’figure auprès de moi
Car à Poudlard, quand je décide
Chacun se soumet à mon choix.
Rien ne m’échappe rien ne m’arrête
Le Choixpeau a toujours raison
Mettez-moi donc sur votre tête
Pour connaître votre maison.
Si vous allez à Gryffondor
Vous rejoindrez les courageux, Les plus hardis et les plus forts
Sont rassemblés en ce haut lieu.
Si à Poufsouffle vous allez, Comme eux vous s’rez juste et loyal
Ceux de Poufsouffle aiment travailler
Et leur patience est proverbiale.
Si vous êtes sage et réfléchi
Serdaigle vous accueillera peut-être
Là-bas, ce sont des érudits
Qui ont envie de tout connaître.
Vous finirez à Serpentard
Si vous êtes plutôt malin
Car ceux-là sont de vrais roublards
Qui parviennent toujours à leurs fins.

Sur ta tête pose-moi un instant
Et n’aie pas peur, reste serein
Tu seras en de bonnes mains
Car je suis un chapeau pensant !



Elizabeth observait la scène l'air joyeux lorsque soudain les répartitions commencèrent, les noms fusèrent. Puis vint son tour

"Elizabeht Jennans"

L'air plus sérieux la jeune fille se dirigea vers le choixpeau qui fit posés sur sa tête

"Hmmm... un esprit aussi subtil et loyal que le tient, avec cette envie de connaissance et cette patience le choix est rude -le choixpeau semblait songeur- mais je ne vois pas meilleure maison pour toi que... Poufsouffle"

Elizabeth se releva du tabouret presque en trébuchant et rejoignit sa nouvelle maison un sourire scotché à ses lèvres. Tous à sa table l'applaudirent comme ils l'avaient fait avec chaque nouvel étudiant. Elle sera la main du préfet de sa maison. Qui dit s'appeler James Silvershade et que leur préfete était Maggy Thompson. Elizabeth n'arrivait plus à ne pas sourire en observant sa table. Elle avait une maison et ses compagnons de maisons l'avaient tous bien accueillit, elle avait tellement hâte de commencer cette année à Poudlard parmi les Poufsouffle!