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16 janv. 2024, 21:51
Qui est le vrai chef d'orchestre de la mélodie de nos vies ?  Privé S.L 
« Je n'ai qu'une visée : être libre.
J'y sacrifie tout. Mais souvent, souvent
je pense à ce que m'apportera
la liberté... Que ferais-je, seul parmi la
foule inconnue ?
»
- DOSTOÏEVSKI


@Scary Limpson
14 janvier 2049.
PETIT DEJEUNER.


C'est littéralement le pire courrier que j'ai jamais reçu. J'ai beau le lire, le relire, le retourner dans tous les sens, il ne fait justement pas sens. J'étais presque content de reconnaître l'écriture de ma mère sur l'enveloppe, après qu'elle ait soigneusement ignoré toutes mes lettres lui demandant si je pouvais rentrer pour Noël. Si j'avais su, je crois que je l'aurais brûlée avant même de l'ouvrir. Ca ne peut être qu'une mauvaise blague, n'est-ce pas ? Elle n'aurait pas osé ? Et encore moins me l'annoncer comme ça ? Je refuse d'y croire, pourtant les mots sont bien là, couchés noir sur blanc sur le papier. Je pensais avoir touché le fond, ce n'était visiblement pas le cas. Ce mois de janvier joue avec mon coeur, et je ne le supporte pas.
Très cher Antonn,

J'ai bien reçu tous tes hiboux pour Noël. Evite de m'en envoyer tant la prochaine fois, je t'en prie, lorsque le sujet est le même. J'ai beaucoup de travail et ne suis pas à ta disposition. Si je ne réponds pas, c'est que j'ai une bonne raison de le faire et tu le sais. Je préfèrerais que tu ne me contactes que pour les urgences. Enfin, là n'est pas le sujet de cette lettre.

Je te félicite pour ton implication sans faille dans ta scolarité. Tu as su rattraper les erreurs de tes premières années. Pour l'heure, tu fais honneur à ton nom et rempli mes exigences. Tant que ce sera le cas, que tu maintiendras une moyenne excellente et que tu assureras ton rôle de préfet, je ne te parlerais plus d'arrêter le Quidditch. C'était le contrat, tu respectes tes engagements alors je respecterais les miens.

Je dois te faire part de quelque chose d'assez important, qui vient se rajouter dans ta part du marché. Tu n'es pas sans savoir que ton père et moi sommes amis de la famille Limpson. Je pense que tu connais leur enfant, Scary ? Elle est un bon parti. Son sang est pur, elle est jolie, intelligente et bien élevée d'après les dires de ses parents. Cette jeune fille me semble parfaite pour perpétuer notre lignée. Aussi, les discussions sont en cours, et puisque Lara et Mark sont d'accord avec nous, je pense que vous serez fiancés dans les plus brefs délais même si des détails restent à étudier.

Je te demanderais donc de ne pas tout faire rater. Adopte à son égard un comportement respectueux, courtise la. Fais preuve de bonne volonté. Je suis consciente que ce n'est pas nécessairement l'amour dont rêve un adolescent, mais plus tard tu comprendras que les intérêts familiaux sont la priorité et tu seras reconnaissant. Je ne suis pas très informée sur ta vie amoureuse, mais si tu as actuellement une petite amie je te demanderais de bien vouloir rompre avec elle. La jeune Limpson ne doit pas avoir d'arguments solides à opposer à cette union.

Ne sabote pas ce que nous construisons pour toi Antonn. Je te fais confiance. Je pense que tu saisis les enjeux. Tant que tu feras ce que je te demande, je te laisserais vivre le reste de ta vie sans m'en mêler dans la mesure du possible. Mais n'oublie pas que tu es le dernier Clifford en mesure de transmettre le nom. Notre lignée ne peut pas s'éteindre parce que tu l'as décidé. Tu portes sur tes épaules le poids de l'héritage de siècles d'illustres sorciers qui ont occupé cette terre avant toi. Je pense qu'il est bon de te le rappeler, tu ne peux pas juste tout envoyer balader.

Il n'est pas nécessaire que tu répondes à ce courrier, aucune question n'y est posée. Le hibou me confirmera que tu l'as bien reçu.

Très affectueusement,

Ta mère,

Kristy Clifford
J'ai quinze ans, et pas la moindre intention de me marier. Elle est complètement folle. Elle et tout ceux qui l'entourent. Comment est-ce que mon père a pu accepter ? J'ai vraiment si peu de valeur à leurs yeux pour être marchandé de la sorte ? Et Scary ? Elle en pense quoi ? Je ne peux pas croire qu'elle se soit résignée. On est des enfants, par Salazar tout puissant. Comment peuvent-ils nous arracher nos vies des mains sans le moindre remord ? La seule chose qui m'empêche de déchirer cette lettre en des milliers de morceaux c'est que j'ai terriblement peur de ma mère, de l'abandon, et que son hibou est encore là à m'observer d'un air vicieux.

Un peu tremblant, je me lève et m'approche de la table des Gryffondor, à la recherche de celle mentionnée dans la lettre. Lorsque je la repère, je me prépare, ne laisse rien transparaître de mon inconfort ni d'ailleurs de la moindre émotion que je pourrais ressentir. Je m'assieds à côté d'elle. Un peu suspect lorsqu'on sait à quel point on se parle rarement. Je fais de mon mieux pour rester très neutre.

- Psst, Scary. Tu es au courant ?

J'ai chuchoté, préférant rester à l'abri des oreilles indiscrètes. D'autant plus que je n'aime pas les Gryffondor de manière générale. Pour expliciter ma question, je la pointe du doigt, puis me pointe du doigt et recommence doucement à plusieurs reprises attendant de voir si elle percute ou si elle ne sait rien du tout de ce qui se manigance dans notre dos.

5ème année RP; Batteur des Crochets d'Argent depuis la rentrée 2047; Préfet inRP à compter du 1er mai 2048.
Membre du Sixtgang.
Couleur de dialogue #134f5c

26 févr. 2024, 11:16
Qui est le vrai chef d'orchestre de la mélodie de nos vies ?  Privé S.L 
Je passais un bon moment. Vraiment je veux dire. J'étais tranquillement assise à la table de ma maison, en train de manger tranquillement. Personne ne me dérangeait. Je ne dérangeais personne. Une journée paisible comme il n'en arrive pas tous les jours. Je l'ai mal senti quand Clifford est venu s'asseoir à côté de moi. Il ne vient jamais à la table des Gryffondors, je crois qu'il ne les apprécie pas trop, et vu ce à quoi j'ai assisté cette année, je ne peux l'en blâmer. Je me suis aussitôt dit *c'est Erza*, il y a toujours un problème avec elle. Quand ce n’est pas Erza et son frère, c’est Erza et Zoey, et maintenant Erza et Antonn. Des fois cela m'insupporte vraiment. Ils ont vraiment besoin de moi pour régler leurs problèmes ?!

Je ne m'agace pas car je prends la ferme résolution de ne rien laisser gâcher cette journée. Sauf que Clifford est vraiment louche, et ne m’inspire pas du tout confiance. Je ne peux m’empêcher de répondre brutalement :

Quoi ? Je suis au courant de quoi ?

Et puis sa gestuelle énigmatique manque de me mettre hors de moi. Je déteste que l’on passe par quatre chemins, que je vois ou pas où il veut en venir. Sauf que je ne vois pas. Je crois que je ne suis pas au courant. Il y a tellement de choses que j’ignore à propos d’Antonn que c’est sûr, je ne sais rien ! Nous ne sommes pas amis, pas proches, nous avons juste quelques cours en communs et devons tout deux supporter mon incorrigible cousine. Et cela ne me dérangerait pas s’il n’alternait pas ses gestes entre lui et moi.

C’est à ce moment là que je commence à me retrouver dans le même état que mon interlocuteur ; une fébrilité intérieure que nous tentons tout deux de cacher. Lui, manifestement tendu par la situation et moi qui n’y comprends rien. Instinctivement , mon front se plisse et les sourcils de froncent sous l’effet de la réflexion, mon activité favorite lorsqu’il ne s’agit pas de moi. La vérité s’impose rapidement à moi : les plus grands comploteurs de la famille sont mes parents, et ils n’en sont pas à leur coup d’essai. L’habitude détend mes muscles : si j’ai raison, cela ne doit pas être bien important. D’un ton lasse, je lâche sans même le regarder :

Crache le morceau, c’est une histoire de famille pas vrai ?

Je sais qu’il va répondre oui, et qu’il sera même peut-être surpris de ma réaction. J’attends juste de savoir la teneur de ce nouveau complot pour relâcher totalement la pression, car on n’est jamais sûr de ce que des parents sont capable de faire pour le bien de leur enfant.

Cinquième année RP, puzzle sans cadre ⊱ fichefiche PRs

26 févr. 2024, 12:17
Qui est le vrai chef d'orchestre de la mélodie de nos vies ?  Privé S.L 
@Scary Limpson


C'est qu'elle est toujours aussi aimable Limpson. Elle perd de l'argent lorsqu'elle sourit ou quoi ? Je ne pense pas avoir été si déplaisant que ça dans ma manière de l'aborder, alors je n'apprécie absolument pas le ton qu'elle utilise pour s'adresser à moi. Déjà contrarié à l'origine, je me renfrogne. Je fais néanmoins un effort pour desserrer mes dents, me rappelant le contenu de la lettre. Mère m'a demandé de lui être agréable. Mais enfin, de toutes les sorcières de Grande-Bretagne, pourquoi n'a-t-elle pas choisi une avec qui ce serait facile ? Ce n'est pourtant pas ce qui manque. Il faut croire que lorsqu'elle décide de faire de ma vie un enfer, elle ne fait pas les choses à moitié.

La Gryffondor ne me regarde même pas dans les yeux lorsqu'elle s'adresse à moi. Ce n'est qu'une gamine mal élevée. Voilà qui me conforte dans ma conviction que je ne veux pas me marier avec elle. Je n'ai qu'une envie, lui renverser son jus de citrouille dessus et repartir. Je ne sais pas à quel moment nos parents ont imaginé que nous unir pouvait être une bonne idée, on court tout droit à la catastrophe. Néanmoins, je décide de plutôt la prendre en pitié. Comme moi il y a moins d'une heure, elle ignore tout de ce qui se trame dans son dos. Elle et moi sommes victimes des mêmes complots familiaux. Si elle a vécu la même enfance que moi, comment pourrais-je lui en vouloir d'être un si exaspérant personnage ?

Puisque Scary ne me regarde pas, je décide de jouer avec les mêmes codes qu'elle, je porte mon attention sur quelque chose d'autre ne posant plus mes yeux sur son visage. J'affiche une certaine désinvolture et me saisit d'une pomme sur la table dans laquelle je croque, faisant durer le suspens suite à sa question. Personne ne m'ordonne de cracher le morceau, on ne s'adresse pas à moi à l'impératif. Je finis de mâcher, puis je finis par lui répondre d'un air détaché.

- Oui, c'est ça. Une histoire de famille.

Du coin de l'oeil, j'essaie d'observer sa réaction. J'aime bien être en possession d'une information qu'elle ignore. Je suis en position de force. Je lui laisse un peu de temps pour imaginer le pire de ce que ses parents auraient pu lui préparer. La prochaine fois, si elle veut que je coopère, elle me parlera correctement. Néanmoins, le suspens m'affecte moi aussi. Parce que j'ai besoin de savoir ce qu'elle pense de tout cela, est-ce qu'elle se résigne ? Se rebelle ? Et moi, que dois-je faire ? Lorsque je reprends la parole, pour abréger ses souffrances, car rien n'est pire que de vivre dans l'ignorance, j'ai cette fois du mal à camoufler l'ironie qui perce dans ma voix.

- Enfin, ne t'en fais pas. Nos très chers parents sont juste en train de préparer nos fiançailles. Rien de bien important.

Je me tais ensuite, et j'attends. Je ne la regarde toujours pas. Je ne la regarderais pas. Moi, j'ai pu encaisser la nouvelle seule face à un bout de papier. Elle, n'a pas ce luxe.

5ème année RP; Batteur des Crochets d'Argent depuis la rentrée 2047; Préfet inRP à compter du 1er mai 2048.
Membre du Sixtgang.
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04 mars 2024, 11:30
Qui est le vrai chef d'orchestre de la mélodie de nos vies ?  Privé S.L 
Il confirme d'une phrase simple. Il n'en fallait pas plus pour que je me désintéresse à moitié de la situation. Tout mes muscles se relâchent, et un léger sourire de contentement se dessine en coin. Je hausse le sourcil droit et observe le jeune homme croquer avec une attitude faussement négligente sa pomme, et lui demandant du regard de m'en dire plus. De nous deux, c'est lui qui sait __ c'est lui qui a le pouvoir. Mais dans quelques secondes je saurais et pourrais reléguer sans crainte cette épisode probablement insignifiant dans un coin perdu de ma tête. Je sentirais l'odeur de la préoccupation transparaître de tout son corps, l'hésitation dans chacun de ses actes, et c'est moi qui mènerait la danse, avec l'assurance d'un maître aguerri au combat. Car la famille, c'est un choix simple : vaincre ou mourir. Et en temps qu'habituée, c'est le même mélange d'appréhension et d’excitation que lorsque je me saisis de ma baguette avant d'affronter quelqu'un en duel qui s'agite dans mon sang. Quelque chose de terriblement guerrier, une envie de confrontation, de souffrance et de triomphe. Quelque chose d'impulsif, pour lequel la pire torture est sans doute l'inaction. C'est cette pulsion qui secoue mes tréfonds en ce moment, une curiosité impatiente et une attitude bravache. Il va voir, Clifford ce que je pense de ce complot. Je n'ai même pas besoin d'en connaître la nature pour savoir que j'ai déjà fait mon choix.

Le suspens et l'ironie à peine masquée de la voix du jeune homme attisent mon besoin irrépressible de savoir. Je pèse tout ces mots, qui semblent crier le contraire de ce qu'il est en train de vivre. Il a beau fuir mon regard, cela s'impose comme une évidence : il a peur. Lorsque la vérité tombe enfin, je dois faire un gros effort pour ne pas recracher la gorgée du jus de citrouille qui coulait dans ma gorge. Un sentiment de trahison mêlée à de la colère profonde font naître des reflets glacés dans mes yeux verts. C'est une colère plus froide que les eaux sournoises du lac qui prend le dessus. Ils me paieront pour cet affront, et cette phrase se met à résonner en moi comme une certitude. Reste à tester sur qui je peux compter pour mener ma petite guerre, et le premier se trouve en face de moi, sans doute à se ronger les ongles, à angoisser quant à la réaction de ses parents s'il tente quoi que ce soit. Si nous sommes deux, tout sera plus facile, mais je pourrais tout aussi bien me battre seule ; cela ne changerais pas tellement mon quotidien. Je sais déjà que je n'essayerais pas de le convaincre, je ne veux surtout pas m'encombrer de quelqu'un qui n'est pas convaincu de la cause qu'il défend. Je ne veux pas d'un lâche, d'un faible, d'un préfet bellâtre qui veut plaire à ses parents. Alors je me tais, je laisse planer le doute, comme il l'a si bien fait il y a quelques instants. Je me saisis de mon verre d'un geste nonchalant, comme une personne capable de s'amuser de tout. Et puis d'un coup, je crache dedans. Je siffle alors :

__ Voilà ce qu'il m'inspire ce mariage.

Cette fois, je ne fuis pas son regard. Je le chasse comme un chat ferait de même avec une souris. Je m'attends à beaucoup de choses : du dégoût, du mépris, un peu de peur aussi, ou peut-être de la colère, mais pas de l'indifférence. Le message est clair : dis leur non avec tes tripes ou je le ferais seule.

Arghh, je te laisse un Scary insupportablement Gryffondor :roll:

Cinquième année RP, puzzle sans cadre ⊱ fichefiche PRs

04 mai 2024, 11:59
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@Scary Limpson


J'attends patiemment qu'elle réponde, et elle prend tout son temps pour le faire. Je ne peux pas lui jeter la pierre, la nouvelle que je lui apprend n'est sans doute pas facile à digérer pour elle non plus. J'essaie donc au mieux de ne pas la brusquer, même si l'échange me semble de toute manière pour le moins tendu tel qu'il est engagé. Lorsqu'elle crache dans son verre, une moue dégoûtée se plaque sur mon visage et je lève un sourcil, interloqué, alors que le mot suivant s'échappe de ma bouche sans que je ne puisse le retenir.

- Dégueu.

Je la trouve très dramatique, même si notre situation semble sortie tout droit des pires films qu'a pu produire Hollywood. Je dois par ailleurs m'avouer un peu vexé. Il y a tout de même pire que de se marier avec moi. Je suis beau, intelligent, sportif, et ma famille est riche. Cette liste n'est même pas exhaustive. Je ne crois donc pas être le pire parti pour une jeune fille. Des tas de personnes dans l'école serait probablement satisfaite d'une union comme celle-ci. Dire que ce qu'inspire un mariage avec moi c'est un crachat dans un verre, ce n'est pas correct. S'est-elle seulement regardée dans une glace ? Je pense que mes parents se méprennent complètement sur la personne qu'elle est. Jamais ma mère n'aurait risqué de m'associer à une personne ayant de si piètres manières. Mon égo est touché de plein fouet par son comportement.

Cependant, cela ne m'empêche pas de soutenir son regard. Si elle pense que je vais baisser les yeux, c'est raté, il n'en est pas question. S'il y a bien un point commun que je peux nous trouver à Scary et à moi, c'est notre fierté enquiquinante. Je riposte d'un ton froid, froid qui se reflète également dans l'expression que prend mon visage.

- Cette union ne m'enchante pas non plus, figure toi.

C'est un euphémisme. Ce court échange me confirme que nous sommes loin de pouvoir passer une vie ensemble, nous qui avons déjà du mal à nous entendre cinq minutes. Peut-être que j'aurais du demander conseil à Erza avant de m'aventurer dans cette conversation. Elle doit avoir appris à gérer sa cousine depuis le temps.

Je compte m'opposer à ce mariage, mais j'ai besoin de temps pour m'organiser, et j'ai peur qu'elle fasse tout rater. C'est l'idée d'un mariage arrangé que je dois ôter de la tête de mes parents, pas seulement celui qu'ils m'ont prévu avec la Gryffondor. Si elle agit en fonçant tête baissée et parvient à annuler tout ce cinéma à sa manière, ça ne fera que décaler le problème pour moi. Ils trouveront sans trop de difficulté une autre personne à qui me lier. Il faut la jouer stratégique, mais j'ai l'impression que ce n'est pas trop son fort. Toujours mes yeux plantés dans les siens, je déclare :

- Je vais trouver une solution, j'ai juste besoin que tu me laisses un peu de temps pour ça. S'il te plaît.

Pour faire clair, je lui demande de me faire confiance. Si j'échoue, elle pourra faire les choses à sa façon, je ne m'y opposerais pas, je l'aiderais même s'il le faut. Mais j'ai besoin d'abord d'essayer de faire les choses à la mienne. Je la prie du regard de bien vouloir accepter. C'est important pour moi. Ce n'est pas un jeu, c'est ma vie.


Pardon pour le retard !

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